Le couteau de cuisine, un véritable outil...
Une gamme au style bien démarqué
Aux courbes prononcées, à la pointe tombante et puissante.
La lame relativement haute et sa courbe progressive permet d’utiliser le tranchant sur sa totalité, notamment pour émincer.
L’ergonomie du manche a été soigneusement élaborée pour des questions de confort et d’efficacité de coupe.
Cette gamme au style classique se rapproche des lignes nippones du célèbre « santoku ».
Je propose en option avec « Le15 », « Le17 », « Le19 », un fourreau de protection en bois appellé SAYA, assorti au manche.
Disponible dans un panel complet
*Les offices : 85x30mm
* »Le 13″ : un petit éminceur de 130x45mm
* »Le 15″ : un éminceur moyen de 150x50mm (avec ou sans saya)
* »Le 17″ : un éminceur de 170mmx50mm (avec ou sans saya)
* »Le 19″: un éminceur type « chef » de 190x60mm (avec ou sans saya)
*Le bec d’oiseau : 50x22mm
*Le célèbre duo « office / éminceur » assortis (avec ou sans socle)
Nb : Pour un autre format, c’est possible: prenez contact avec moi ici.
Mes couteaux de cuisine sont réalisés de deux façons :
*Soit je forge la lame. Et ce, dans des aciers au carbone, généralement du C70 (0.7% de carbone).
Je suis aussi amené à utiliser d’autres aciers plus durs, comme le C130.
Forger une lame permet d’accroître ses propriétés mécaniques. Notamment par l’écrouïssage : action permettant de resserrer la structure de l’acier par les coups de marteau… Une lame forgée constitue le haut de game de mes couteaux de cusine. Il faudra prévoir un coût suplémentaire pour couvrir l’opération de forgeage ainsi que le charbon.
*Soit par enlèvement de matière (stock removal). Dans des aciers préférentiellement au carbone ou faiblement alliés tel que le XC100, le 100C6 et le C130 (avec respectivement 1%, 1% et 1.25% de carbone). Ou bien du damas, sandwich (acier ou sandinox) réalisé par moi-même. Voire certains aciers particuliers sur demande, notamment des inoxs simples (le 14C28N).
REMARQUES :
Dans un souci d’obtenir les meilleurs propriétés, j’ai choisi de limiter l’utilisation de l’inox, car je ne possède pas encore un équipement adapté pour réaliser les traitements thermiques de ces alliages. Je fais allusion à la cryo à l’azote liquide (-70°c) juste après la trempe.
Je fais en sorte que mes lames en acier au carbone reçoivent une trempe sélective. Cela afin d’apporter plus de souplesse au dos du couteau mais en conservant un tranchant dur.
Les tarifs
(acier au carbone et inoxidable)
Tarifs indiqués pour des manches montés avec des essences de bois communs (buis, olivier, cade, etc)