ATTENTION
Ne jamais nettoyer votre couteau dans le lave-vaisselle !
Ne jamais laisser le tranchant au contact d’autre objet métallique ou de même dureté
(plan de travail en marbre,…)
Le couteau de cuisine:
Fabrication artisanale conçus pour durer

Une gamme complète au style démarqué
Aux courbes prononcées, à la pointe tombante et puissante.
La lame relativement haute et sa courbe progressive permet d’utiliser le tranchant sur sa totalité, notamment pour émincer.
L’ergonomie du manche a été soigneusement élaborée pour des questions de confort, de sécurité et d’efficacité de coupe.
Chaque modèle est fait avec la technique « plate semelle ». C’est à dire que de la bâti du couteau est en une pièce du talon à la pointe ! Cette prolongation entre lame et manche apporte une grande résistance, beaucoup de rigidité et de puissance.
Fiabilité à l’utilisation, durabilité… j’ai conçus cette gamme de couteaux de cuisine pour répondre aux éxigences d’un(e) cuisinier(e) avec son outil de travail. A cela, j’ai ajouté un style esthétique. Doux, sobre, chaleureux, je donne vie à chancun d’entre eux en m’opposant fermement au « look » froid, fade et impersonnel de ce qui est proposé dans l’industrie.





Une gamme complète :
Modèle
Tranchant
Hauteur
Bec d’oiseau
50mm
22mm
Office
85mm
30mm
Le table
105mm
25mm
Le 13
130mm
45mm
Le 15
150mm
50mm
Le 17
170mm
55mm
Nakiri
170mm
65mm
Le 19
190mm
60mm
Le chef
>200mm
>= 60mm
Saya, Socle, Coffret
Sur demande, pour une pièce ou avec l’assortiment de votre choix









Carnet de commandes ouvert toute l'année !
Afin de manipuler des outils adaptés à vos besoins et à votre goût : je fabrique des couteaux de cusine sur mesure !
Ensemble, nous définissons le modèle, le type d’acier, les materiaux pour le manche. Et à cela, toutes vos prérogatives et préférences…
Bon à savoir
Je propose la fabrication de « duo personnalisé ». Généralement : un éminceur « Le 17 » et son office assortis.
Deux techniques de fabrication
Forger la lame
J’utilise des aciers au carbone, généralement du C70 (0.7% de carbone). Je suis aussi amené à utiliser d’autres aciers plus durs, comme le C130.
Forger une lame permet d’accroître ses propriétés. Notamment par l’écrouïssage : action permettant de resserrer la structure de l’acier par les coups de marteau…
Une lame forgée constitue le milieu de gamme de mes couteaux de cusine. Il faudra prévoir un coût suplémentaire pour couvrir l’opération de forgeage ainsi que le charbon.
L'enlèvement de matière
Communément appelé « stock removal », cette technique consiste à arracher la matière à l’aide de bande abrasive.
Ici, j’utilise préférentiellement des aciers au carbone ou faiblement alliés tel que le XC100 et le C130 (avec respectivement 1% et 1.25% de carbone).
Ou bien du damas, sandwich 3 ou 5 couches (acier ou sandinox) réalisé par moi-même.
Voir certains aciers particuliers sur demande, notamment des inoxs simples (le 14C28N par exemple)
REMARQUES :
*Je fais en sorte que mes lames en acier au carbone reçoivent une trempe sélective. Cela afin d’apporter plus de souplesse au dos du couteau mais en conservant un tranchant dur.
*Je propose en option avec « Le15 », « Le17 », « Le19 », un fourreau de protection en bois appellé SAYA, assorti au manche.





Les tarifs
Dès 12€/cm
de lame
Acier au carbone ou acier inoxydable homogène
Par enlèvement de matière
Dès 15€/cm
de lame
Acier au carbone homogène
Forgé
Dès 18€/cm
de lame
San-maï (3 couches)
Go-maï (5 couches)
Forgé
Dès 20€/cm
de lame
Damas
Forgé
Dès 40€
SAYA
En bois et sur mesure
En fonction de l’essence choisit et de la longueur
Dès 50€
SOCLE
en bois et sur mesure
En fonction de l’essence choisit
Tarifs indiqués pour des manches montés avec des essences de bois communs (buis, olivier, cade, etc)
Conseils d'entretiens
Dans le cas ou votre couteau est fait en acier (précisé sur son certificat), il est important après chaque utilisation de bien essuyer la lame. Ce n’est pas un alliage inoxydable. En d’autre terme, la lame est amenée à réagir avec son environnement direct (aliment acide, eau douce ou de mer, etc) et peut rouiller.
Nota : Si vous utilisez très peu votre couteau, vous pouvez protéger la lame de son oxydation naturelle en le recouvrant d’une très fine couche d’huile.
PAS DE PANIQUE !
Si il y a de la rouille : il n’y a qu’à frotter la zone oxydée avec ‘‘le côté vert’’ d’une éponge. La patine grise s’estompera mais reviendra après quelques utilisations.
AFFUTAGE
Lorsque vous remarquez que la lame a perdu son tranchant rasoir, je recommande dans un premier temps d’utiliser un fusil à cannelures (neuf ou en bon état).
Comment faire ? Faites dix passes de chaque côté du tranchant en gardant un angle très faible. Sauf indication dans le certificat remis avec le couteau, l’angle d’affutage est de 20° (soit 10° d’un côté et 10° de l’autre).
L’usage de la pierre se fait plus rarement. Optez pour des grains P6000, voir P3000. N’hésitez pas à me contacter pour plus de renseignements !